Gérer les marchés, être présents aux sorties d’école, réguler le stationnement… Telles sont les missions des policiers municipaux. Ils sont deux sur la commune de Guînes. L’un deux est parti début juin dans le sud et a été remplacé par Gary Gressier.

Originaire du Boulonnais, le jeune homme de 29 ans a toujours voulu faire « un métier de loi ». Il a commencé par être gendarme dans la région de Nantes pendant deux ans. Il a ensuite intégré la brigade de proximité à Auxi-le-Château avant de rentrer dans la police municipale « pour plus de proximité ». En effet, quand il était gendarme, il y avait plus de communes à couvrir or en tant que policier municipal, il veille sur une seule ville.

«J’aime le contact avec les gens. On fait plein de choses différentes ». Et ce qui lui plaît dans son métier : la diversité des tâches. « Il n’y a pas de routine ». Le Boulonnais a ainsi plus de contacts avec la population ;

Mais les Guînois n’ont pas toujours le réflexe d’appeler la police municipale en cas de problème. « C’est plus direct de nous appeler pour une question de rapidité », indique le policier.

L’intervention de la police municipale est en général plus rapide que celle des gendarmes mais, comme ils le rappellent, ils travaillent régulièrement ensemble.

Le Boulonnais a été plutôt bien accueilli par la population. « C’est une belle petite ville », conclut-il. Vous pourrez donc certainement le rencontrer lors de sorties d’école ou en cas de problème de voisinage.

Un ancien gendarme devenu policier municipal à Guînes


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